L'Académie des sciences d'Ouzbékistan a défendu lundi l'invention de scientifiques ouzbeks d'un médicament à base de sang de tortue pouvant prolonger la vie humaine jusqu'à 100 ans et au-delà, moquée par des médias indépendants.
La préparation médicale, baptisée Tortezin par ses inventeurs, et ironiquement «élixir de vie» par le site Internet indépendant Uzmetronom, protègerait aussi de la radioactivité, selon les scientifiques ouzbeks.
L'Académie des sciences a pourfendu le «mépris de certains médias diffamant» ces recherches «en le présentant comme n'ayant aucune valeur scientifique», dans un courrier cité par l'agence pro-gouvernementale en ligne press-uz.info.
La lettre assure que la résistance à la radioactivité des tortues d'Asie centrale est prouvée depuis les années 1970.
«Nous considérons (...) que la Tortezin est un travail scientifique prometteur, mais son efficacité ne peut être prouvée qu'après des essais cliniques», concède, malgré tout, le courrier de l'Académie.
Les scientifiques ouzbeks, optimistes, ont d'ores et déjà breveté une technologie pour prélever le sang des tortues sans risque pour l'animal.
La préparation médicale, baptisée Tortezin par ses inventeurs, et ironiquement «élixir de vie» par le site Internet indépendant Uzmetronom, protègerait aussi de la radioactivité, selon les scientifiques ouzbeks.
L'Académie des sciences a pourfendu le «mépris de certains médias diffamant» ces recherches «en le présentant comme n'ayant aucune valeur scientifique», dans un courrier cité par l'agence pro-gouvernementale en ligne press-uz.info.
La lettre assure que la résistance à la radioactivité des tortues d'Asie centrale est prouvée depuis les années 1970.
«Nous considérons (...) que la Tortezin est un travail scientifique prometteur, mais son efficacité ne peut être prouvée qu'après des essais cliniques», concède, malgré tout, le courrier de l'Académie.
Les scientifiques ouzbeks, optimistes, ont d'ores et déjà breveté une technologie pour prélever le sang des tortues sans risque pour l'animal.
La défense de l'Académie paraît curieuse, lorsqu'elle concède que les essais cliniques n'ont pas été faits. Il faut éviter de faire des déclarations fracassantes avant d'avoir en main les éléments de preuve susceptible d'emporter la conviction.