LUCKNOW, Inde (Reuters) - Un habitant du nord de l'Inde a tué son fils de quatre ans après avoir eu des visions de la déesse hindoue Kali exigeant de lui un sacrifice.
"La déesse m'est apparue et m'a ordonné de me sacrifier, ou de sacrifier mon fils", a déclaré ce barbier de 28 ans, présenté sous le nom de Pramod.
Il a été appréhendé vendredi soir par la police après avoir tranché la gorge du garçon avec un rasoir dans les faubourgs de Lucknow, capitale de l'Etat d'Uttar Pradesh.
"J'ai choisi mon fils parce que si j'étais mort cela aurait fait souffrir le reste de ma famille", a-t-il expliqué.
Son épouse, Kusum, a déclaré que son mari avait développé des troubles de la personnalité après avoir consommé une "potion" préparée par un proche, lors d'une querelle familiale.
Dans le panthéon hindou, Kali est considérée comme une déesse destructrice, orientée contre le Mal.
Un responsable de la police, Ashutosh Pandey, a émis des doutes sur la justification apportée au meurtre. "Nous n'excluons pas que ce meurtre puisse s'expliquer par le fait que Pramod soupçonne le garçon d'avoir été engendré par un autre que lui", a-t-il dit.
"La déesse m'est apparue et m'a ordonné de me sacrifier, ou de sacrifier mon fils", a déclaré ce barbier de 28 ans, présenté sous le nom de Pramod.
Il a été appréhendé vendredi soir par la police après avoir tranché la gorge du garçon avec un rasoir dans les faubourgs de Lucknow, capitale de l'Etat d'Uttar Pradesh.
"J'ai choisi mon fils parce que si j'étais mort cela aurait fait souffrir le reste de ma famille", a-t-il expliqué.
Son épouse, Kusum, a déclaré que son mari avait développé des troubles de la personnalité après avoir consommé une "potion" préparée par un proche, lors d'une querelle familiale.
Dans le panthéon hindou, Kali est considérée comme une déesse destructrice, orientée contre le Mal.
Un responsable de la police, Ashutosh Pandey, a émis des doutes sur la justification apportée au meurtre. "Nous n'excluons pas que ce meurtre puisse s'expliquer par le fait que Pramod soupçonne le garçon d'avoir été engendré par un autre que lui", a-t-il dit.
Un premier avril comme on aimerait en voir moins souvent.