JERUSALEM (AFP) - Un rabbin opposé au retrait de Gaza a mis en garde lundi policiers et militaires israéliens qui évacueront des colons, qu'ils "seraient punis par le ciel" en étant atteints du cancer ou étant victimes d'accidents de la route."Chassez un juif de sa maison est un péché terrible qui ne peut qu'être puni", affirme le rabbin Moshe Tzuriel dans un appel aux forces de l'ordre.
"Quiconque s'en est rendu fautif ne doit pas s'étonner s'il tombe malade quelques années plus tard en raison d'un cancer ou s'il est victime d'un accident de la route fatal", a-t-il ajouté.
"Mon intention n'est pas du tout de porter du tort aux policiers et militaires mais tout au contraire de les protéger en les avertissant des risques qu'ils encourent", a encore dit le rabbin, dans une interview à la radio militaire.
Des extrémistes juifs opposés au retrait ont provoqué récemment un tollé en procédant dans un cimetière, en présence d'un rabbin, à un antique rituel juif pour demander la mort du Premier ministre Ariel Sharon. Il s'agit de la cérémonie dite de la "Pulsa Denura", un antique rituel juif en langue araméenne par lequel on invoque les "feux du ciel" pour foudroyer une personne maudite.
"Quiconque s'en est rendu fautif ne doit pas s'étonner s'il tombe malade quelques années plus tard en raison d'un cancer ou s'il est victime d'un accident de la route fatal", a-t-il ajouté.
"Mon intention n'est pas du tout de porter du tort aux policiers et militaires mais tout au contraire de les protéger en les avertissant des risques qu'ils encourent", a encore dit le rabbin, dans une interview à la radio militaire.
Des extrémistes juifs opposés au retrait ont provoqué récemment un tollé en procédant dans un cimetière, en présence d'un rabbin, à un antique rituel juif pour demander la mort du Premier ministre Ariel Sharon. Il s'agit de la cérémonie dite de la "Pulsa Denura", un antique rituel juif en langue araméenne par lequel on invoque les "feux du ciel" pour foudroyer une personne maudite.
C'est ce qu'on baptisera le cancer du colon, donc.
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