15 janvier 2007

No longevity benefit with growth hormone

By ED SUSMAN

PHILADELPHIA, Jan. 15 (UPI) -- Doctors said Monday their analysis of 31 scientific papers found that human growth hormone -- oft-touted as an anti-aging wonder -- does nothing to help a person live longer.

However, the papers do show that use of the expensive therapy has the potential to create adverse side effects.

"There is certainly no data out there to suggest that giving growth hormone to an otherwise healthy person will make him or her live longer," said Dr. Hau Liu, a research fellow in the Division of Endocrinology and in the Center for Primary Care and Outcomes Research at Stanford University School of Medicine in Stanford, Calif.

Liu and colleagues' conclusions will be published in Tuesday's edition of the Annals of Internal Medicine, the journal of the Philadelphia-based American College of Physicians.

"We did find that there was substantial potential for adverse side effects," Liu said, including such problems as joint swelling and pain, carpal tunnel syndrome and a trend toward increased new diagnoses or pre-diabetes. "You're paying a lot of money for a therapy that may have minimal or no benefit and yet has a potential for some serious side effects," Liu said. "You've got to really think about what this drug is doing for you."

"Growth hormone has been touted by people practicing fringe medicine for decades," Dr. Barry Horowitz, co-director of the Metabolic Research Institute in West Palm Beach, Fla., told United Press International. "They say growth hormone is an anti-aging therapy, can make your skin look better and improve your sex drive.

"But there is no proof -- as Dr. Liu has demonstrated -- that growth hormone does anything to extend a person's life," Horowitz said. "Our great fear is that in patients with occult, asymptomatic cancer, the administration of growth hormone may cause that cancer to grow and spread."

He said that growth hormone has been approved for treating children who have growth hormone deficiencies and to treat some adults with growth hormone deficiencies due to injury or disease to the pituitary gland.

"In many anti-aging clinics, growth hormone is prescribed willy-nilly off-label, without any proof that patients are better off," he told UPI. He also noted that the drug is highly expensive, and is not reimbursed for its off-label (unapproved) use.

Growth hormone is widely promoted on the Internet, and its use as a purported anti-aging drug has caught the attention of the popular media, ranging from the "Today Show" to Business Week. Between 20,000 and 30,000 people in the United States used growth hormone as an anti-aging therapy in 2004, a ten-fold increase since the mid-1990s, according to the authors of an unrelated study published in the Journal of the American Medical Association in 2005.

Growth hormone is naturally produced by the pituitary gland, a pea-sized organ at the base of the brain. Growth hormone is critical to proper development in children, particularly their height, and injections of growth hormone are considered a legitimate treatment for short children and for adults whose pituitary glands don't produce enough growth hormone to maintain normal metabolism. But most promoters of growth hormone as an anti-aging therapy target the healthy elderly.

Liu's team undertook a systematic review and analysis of published studies, excluding any that looked at diseases for which growth hormone is an accepted therapy. They focused solely on studies using growth hormone to treat the elderly, specifically those whose main maladies were nothing worse than age and being mildly to moderately overweight. They also included only studies that evaluated the use of the hormone in randomized, controlled clinical trials.

Of all the papers contained in two of the largest databases of medical literature in the world, only 31 met the team's criteria. The 31 studies had a combined total of slightly more than 500 participants, and the average duration of therapy was about six months, said Liu, adding that he was surprised at the limited amount of data in the literature.

"These studies were designed to look at what happens when you give growth hormone to a healthy elderly person," said Liu. "For example, what happens to their bone density, to their exercise levels and to their exercise capacity."

The researchers found that growth hormone had a modest effect on body composition, increasing lean body mass, or muscle, by slightly more than 2 kilograms and decreasing body fat by roughly the same amount.

But, Liu said, "It did not change other clinically important outcomes, such as bone density measurements, cholesterol and lipid measurements, and maximal oxygen consumption." In short, the studies provided no real evidence that the therapy resulted in increased fitness.

"From our review, there's no data to suggest that growth hormone prolongs life, and none of the studies makes that claim," said Liu.

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Inutile de se précipiter vers des produits miracles qui ne présentent aucune justification scientifique et qui ont probablement des effets secondaires.

Le ministère [israélien] de la Santé a caché la mort de 11 personnes vaccinées contre la grippe

Rebbeca Serfaty
Arouts 7

Le ministère a caché des données sur les morts survenues après une vaccination contre la grippe : 15 personnes sont mortes après avoir été vaccinées contre la grippe au mois d’octobre 2006, et non 4 comme l’avait dit le ministère, a révélé la radio Galé Tsahal ce matin.

La directrice de la section ‘maladies infectieuses’ du ministère de la Santé le docteur Emilia Anisse, a révélé ces faits au cours d’un congrès médical à Beer Sheva. « En tout, 15 cas ont été mentionnés, de personnes qui sont décédées peu de temps après avoir reçu le vaccin, tous les malades appartenaient à la même tranche d’âge, personnes âgées et malades ».

Au mois d’octobre, le ministère de la Santé avait fait part du cas de 4 personnes décédées après avoir été vaccinées contre la grippe, toutes avaient reçu le vaccin de la même série de produit fabriqué dans la même usine en France. Le ministère avait alors ordonné l’arrêt immédiat de toutes les vaccinations afin d’enquêter. Après deux jours et avec la certitude que les vaccinations n’avaient pas causé de morts, celles-ci avaient repris.

Après les révélations du docteur Anisse, le ministère de la Santé a déclaré qu’il n y avait pas de raison de publier ces données, « nous n’avons pas ressenti l’obligation ou le besoin de mettre au courant (le public) de chaque cas de décès dont nous supposions qu’il n’était pas lié au vaccin ».

Selon la radio Galé Tsahal, le mouvement pour la libre circulation des informations a annoncé ce matin son intention de proposer un amendement à la constitution afin d’obliger le ministère de la Santé à publier toutes le informations concernant des situations sanitaires sortant de l’ordinaire.

Au ministère de la Santé on ajoute que la décision de ne pas publier ces informations était sincère et visait à préserver le bien être du public ; on souligne qu’il avait été prouvé formellement que le vaccin n’avait aucun lien avec les décès. Le ministère craignait de créer un mouvement de panique. « Après vérification des quatre premiers cas, nous savions de façon presque certaine qu’il n y a aucun problème avec le vaccin, c’est pourquoi tout lien a été écarté ici aussi (dans les cas suivants) ».

Le vice directeur du ministère, Yaïr Amakim, a dit ce matin que le ministère a dû prendre une décision très difficile. « Nous considérions deux droits : le droit du public de savoir qui est une valeur importante d’un côté, mais aussi notre droit à défendre la santé publique, valeur plus importante pour nous. Contrairement à d’autres, nous avons la responsabilité de la santé publique et nous suivons avec inquiétude la baisse du nombre de vaccinés – ceci pourrait causer la mort des suites de la grippe ».

L’année dernière le nombre de vaccinés a baissé de 56 % en comparaison à l’année précédente. De plus on a constaté une hausse du nombre de cas de grippe.

Le dirigeant de la commission de la santé à la Knesset Moshé Sharoni a déclaré que le ministère aurait dû publier le nombre de décès. « Cette décision me semble impropre. Il faut rendre compte de tout, même si le nombre de vaccinés risque de baisser, il faut tout dire au gens ». Membre de cette commission, le député du parti Meretz Ran Cohen a exigé que soit lancée un enquête sur le sujet, prié le ministère de ne pas considérer les citoyens comme des imbéciles et souligné le droit de tous citoyens à savoir.


Dans ce cas, la journaliste fait une relation (post hoc) entre le vaccin et les 15 décès, dont 11 auraient été 'cachés'. Mais le vaccin a été disculpé dès les 4 premiers. Il était donc inutile de mentionner les 11 suivants, ni plus ni moins que n'importe quels autres décès pendant toute la période. Et il y en a eu sûrement plus de 11. Prendre les gens pour des imbéciles n'est pas une prérogative des politiciens: ça peut même arriver à des journalistes à la recherche d'un 'scoop'.

Démenti du Defense Security Service: Des pièces de monnaie canadiennes n'ont pas servi à espionner

Presse Canadienne (PC)

Il semble finalement qu'il n'y ait aucun risque que vos pièces de monnaie vous espionnent.

Un agence de la défense du gouvernement américain est soudainement revenue, cette semaine, sur son affirmation voulant que des pièces de monnaie canadiennes comportant de minuscules émetteurs aient été remises à leur insu à au moins trois travailleurs américains de passage au Canada.

Des Canadiens ont commencé à examiner soigneusement leurs huards après que le Defense Security Service, dont le siège est situé en Virginie, eut avancé que des pièces trafiquées constituaient un nouvel outil de vol de technologie militaire américaine sensible.

Il n'a pas été précisé dans le rapport annuel du service de contre-espionnage, pour 2006, quelles pièces étaient utilisées. Une représentante de l'agence a affirmé que les détails sur cette affaire relevaient du secret défense.

Des spécialistes de l'espionnage ont avancé que les émetteurs miniatures des pièces soi-disant trafiquées servaient possiblement à suivre les déplacements d'employés du secteur de la défense.

Dans un communiqué émis sur son site Web, vendredi, le Defense Security Service a indiqué que ces allégations reposaient sur un rapport lui ayant été remis. L'agence a ajouté qu'il avait par la suite été démontré qu'elles étaient sans fondement.


Encore une théorie complotiste, lancée probablement par des petits plaisantins de l'agence américaine. On comprend mal comment on pourrait suivre une personne avec des pièces de monnaie, qui changent de main si facilement. De même, un émetteur aussi petit devrait disposer d'un récepteur très proche pour pouvoir être lu, sans compter que le métal de la pièce rendrait la chose très difficile. Pourtant, cette rumeur même pas crédible a trouvé, semblerait-il, un public. Il s'agit probablement d'une variante sur le thème des puces RFID, un des sujets favoris des complotistes.