D'après Associated Press
La mort d'un homme, attribuée initialement à l'explosion d'un cellulaire, aurait plutôt été causée par un collègue de travail. Ce dernier aurait inventé l'histoire après avoir frappé accidentellement la victime avec une foreuse motorisée, indiquait vendredi la police sud-coréenne.
Journalier dans une carrière, l'homme, identifié seulement par le nom de famille Seo, avait été retrouvé mort mercredi avec une batterie de cellulaire fondue dans la poche de sa chemise. La police et le médecin qui ont examiné son corps soupçonnaient qu'une batterie défectueuse avait tué l'homme.
Une autopsie préliminaire a cependant démontré que les dommages aux organes internes de M. Seo étaient trop importants pour avoir été causés par une batterie.
Les policiers ont interrogé le collègue qui les avait initialement avisés du décès de M. Seo. L'homme, un certain M. Kwon, a avoué avoir tué accidentellement son collègue en reculant sa foreuse motorisée. Il a aussi reconnu avoir inventé l'histoire de la batterie défectueuse.
M. Kwon n'a pas précisé si c'est lui qui avait mis le feu à la batterie du cellulaire.
LG Electronics, le fabricant du téléphone en question, dit n'avoir jamais cru qu'un de ses téléphones ait pu être impliqué dans la mort de M. Seo.
«LG teste rigoureusement la qualité et la sécurtié de ses appareils», a souligné l'entreprise par voie de communiqué.
La mort d'un homme, attribuée initialement à l'explosion d'un cellulaire, aurait plutôt été causée par un collègue de travail. Ce dernier aurait inventé l'histoire après avoir frappé accidentellement la victime avec une foreuse motorisée, indiquait vendredi la police sud-coréenne.
Journalier dans une carrière, l'homme, identifié seulement par le nom de famille Seo, avait été retrouvé mort mercredi avec une batterie de cellulaire fondue dans la poche de sa chemise. La police et le médecin qui ont examiné son corps soupçonnaient qu'une batterie défectueuse avait tué l'homme.
Une autopsie préliminaire a cependant démontré que les dommages aux organes internes de M. Seo étaient trop importants pour avoir été causés par une batterie.
Les policiers ont interrogé le collègue qui les avait initialement avisés du décès de M. Seo. L'homme, un certain M. Kwon, a avoué avoir tué accidentellement son collègue en reculant sa foreuse motorisée. Il a aussi reconnu avoir inventé l'histoire de la batterie défectueuse.
M. Kwon n'a pas précisé si c'est lui qui avait mis le feu à la batterie du cellulaire.
LG Electronics, le fabricant du téléphone en question, dit n'avoir jamais cru qu'un de ses téléphones ait pu être impliqué dans la mort de M. Seo.
«LG teste rigoureusement la qualité et la sécurtié de ses appareils», a souligné l'entreprise par voie de communiqué.
L'information se révèle être un canular macabre. Il ne reste plus aux enragés du mal-nommé principe de précaution que le rayonnement électro-magnétique des téléphones comme prétexte pour s'opposer à ce qui ne leur plaît pas.