(AFP Londres) Une étude britannique affirme que les hommes ont en moyenne un quotient intellectuel plus élevé que les femmes, selon les premiers chiffres révélés jeudi dans la presse.
Selon cette étude, conduite par les professeurs Paul Irving et Richard Lin du Centre de psychologie de l'Université de Manchester, après 14 ans, les hommes ont en moyenne un QI de cinq points supérieur à celui des femmes. Et cet écart grandirait dans les QI élevés. L'étude, dont les résultats complets seront publiés d'ici la fin 2005 dans la Revue britannique de psychologie, la différence de QI entre hommes et femmes est inexistante jusqu'à l'âge de 14 ans. Il y aurait par contre deux fois plus d'hommes que de femmes au niveau des QI de 125 points, alors qu'au niveau de 155 points, celui censé distinguer les génies, il n'y aurait qu'une seule femme pour 5,5 hommes. «Cela explique peut-être en partie le plus grand nombre d'hommes parmi les grands maîtres aux échecs, parmi les médaillés Field en mathématiques ou parmi les Prix Nobel», a déclaré Paul Irving jeudi. «Le petit avantage des hommes en terme de QI est en fait surtout susceptible d'être important pour certaines tâches d'une grande difficulté, comme résoudre des problèmes complexes en mathématiques, physique ou ingénierie», a poursuivi le professeur Irwing. Le professeur Irwing a cependant souligné que «certains éléments démontrent qu'à niveau de QI égal, les femmes sont plus efficaces que les hommes car elles sont plus consciencieuses et plus à même de supporter de longues périodes de travail». Les résultats de cette étude sont basés sur des tests de quotients intellectuels sur un premier échantillon de 80 000 personnes, puis sur un second échantillon de 20 000 personnes, seulement des étudiants cette fois.
Selon cette étude, conduite par les professeurs Paul Irving et Richard Lin du Centre de psychologie de l'Université de Manchester, après 14 ans, les hommes ont en moyenne un QI de cinq points supérieur à celui des femmes. Et cet écart grandirait dans les QI élevés. L'étude, dont les résultats complets seront publiés d'ici la fin 2005 dans la Revue britannique de psychologie, la différence de QI entre hommes et femmes est inexistante jusqu'à l'âge de 14 ans. Il y aurait par contre deux fois plus d'hommes que de femmes au niveau des QI de 125 points, alors qu'au niveau de 155 points, celui censé distinguer les génies, il n'y aurait qu'une seule femme pour 5,5 hommes. «Cela explique peut-être en partie le plus grand nombre d'hommes parmi les grands maîtres aux échecs, parmi les médaillés Field en mathématiques ou parmi les Prix Nobel», a déclaré Paul Irving jeudi. «Le petit avantage des hommes en terme de QI est en fait surtout susceptible d'être important pour certaines tâches d'une grande difficulté, comme résoudre des problèmes complexes en mathématiques, physique ou ingénierie», a poursuivi le professeur Irwing. Le professeur Irwing a cependant souligné que «certains éléments démontrent qu'à niveau de QI égal, les femmes sont plus efficaces que les hommes car elles sont plus consciencieuses et plus à même de supporter de longues périodes de travail». Les résultats de cette étude sont basés sur des tests de quotients intellectuels sur un premier échantillon de 80 000 personnes, puis sur un second échantillon de 20 000 personnes, seulement des étudiants cette fois.
On se demande ce que prouve cette étude sinon le peu de fiabilité que présente cette mesure de QI. La variabilité avec l'âge, à partir de 14 ans, pourrait facilement faire soupçonner des facteurs culturels aussi bien qu'hormonaux.
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